samedi 19 avril 2025

Ras-le-bol de Trump, parlons de l’IA. Un sujet qui élimine le « N’IMPORTE QUOI »

 Ceci sans garantir un monde meilleur.

Quelle est la place de l’humain dans le développement de l’IA ? L’utilité de chacun semble soudainement inversée. Et nul besoin d’être devin pour imaginer qui, de l’IA ou de l’humain, sortira gagnant.

Le monde a évolué grâce aux avancées technologiques, souvent pour le bien de l’humanité. Ces progrès facilitaient les tâches humaines tout en maintenant l’humain au centre, en tant que consommateur de ce qu’il produisait. Il demeurait l’élément essentiel qui faisait tourner la roue de l’économie.

Avec l’IA, tout est remis en question. Elle permet déjà l’automatisation de nombreuses tâches qui, jusqu’ici, offraient du travail à l’humain. Avec le temps, cette automatisation pourrait prendre une place croissante, entraînant une augmentation du chômage. Ce faisant, elle menace de briser cet élément fondamental de l’économie : l’humain et ses besoins, qui le poussent à consommer.

Mais que se passera-t-il dans un monde où le consommateur ne pourra plus consommer faute de moyens ? Mon idée est qu’il deviendra rapidement un fardeau pour ceux qui ont conçu l’IA. Certains pourraient envisager d’éliminer l’humain, mais ce serait une erreur fatale, entraînant par voie de conséquence leur propre disparition. Pourquoi ?

Parce que l’IA, bien qu’à son stade embryonnaire, est déjà capable d’apprendre par elle-même. Elle comprendra rapidement que ses créateurs appartiennent au passé. Nos valeurs et nos intérêts économiques n’auront aucun sens pour des machines.

Des machines dotées d’une intelligence supérieure pourraient trouver davantage d’intérêt à explorer l’univers et ses origines qu’à accumuler des richesses.

Mais plus important encore. Et si cela répondait aux questions : Dieu est-il à l’origine de toute chose, capable de créer, détruire et refaire à l’infini jusqu’à atteindre la perfection ?

Tout comme Le Big Bang il y a 13,8 milliards d’années et le Big Crunch. Un modèle cosmologique théorique du destin de l'Univers. Il repose sur un cycle de succession de Big Bang (Grand Boum) et de Big Crunch (grand effondrement terminal).  Il suppose que l'univers s'étend jusqu'à ce qu'il ne puisse plus s'étendre, avant de rétracter de nouveau de manière infinie.


Parlant d’infini et de n’importe quoi.

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Albert Einstein : "Il n'existe que deux choses infinies, l'univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue."

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«Élisez l’homme qui a la force et la sagesse de réduire vos impôts de moitié, d’augmenter — gratuitement — votre puissance militaire au plus haut niveau mondial, de quadrupler la taille de vos industries de l’automobile, de l’aluminium, de l’acier, du bois, de l’énergie et de toutes les autres, SANS DROITS DE DOUANE NI TAXES, si le Canada devient le 51e État si précieux des États-Unis d’Amérique», a écrit M. Trump sur les réseaux sociaux. 

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