Des jeunes médecins finissants n'ont d'autre choix que de
quitter le Québec pour se trouver du travail, faute de poste disponible ici.
Des jeunes médecins qui finissent leurs études doivent
quitter la province pour se trouver un poste. Cherchez l’erreur ! Quand on pense au temps d’attente aux
urgences et aux listes d’attente en chirurgie. Il y a de quoi s’inquiéter sur
la compétence de nos chers dirigeants.
Ceux qui pensaient que la corruption et les magouilles
étaient seul responsables du gaspillage de nos impôts, en voici un autre
exemple.
Voir : Héloïse Archambault, 28-09-2013 http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2013/09/20130928-011445.html
Une étudiante en médecine interne a confié au Journal de Montréal être inquiète de ne pas avoir de poste en finissant. «Je connais trois médecins qui graduent cette année et qui n'ont pas de poste. Et ce n'est pas parce qu'elles ne sont pas bonnes, raconte-t-elle. On leur suggère de faire des « fellowships dans tel domaine en attendant.»
Voir aussi: Des médecins étrangers refusés, des postes en résidence laissés vacants
14 avril 2016
Une situation des plus
désolante. Cela fait des années qu’on en entend parler mais apparemment
rien ne change. Il y a une dizaine
d’année j’avais vu un reportage sur ces médecins venus d’ailleurs et qui,
fatigués de se battre contre le système, devaient se contenter d’être chauffeur
de taxi ou autres. Sans vouloir dénigrer la profession des uns et des autres.
Tout le monde s’entend sur l’obtention d’une équivalence de diplôme. Mais il semble que ce soit insuffisant puisque la majorité des médecins étrangers voient leurs demandes refusées même après avoir satisfait à toutes les exigences.
Est-ce vraiment un manque de compétence comme on semble le suggérer ? N’est-ce pas plutôt de la discrimination ? Du protectionnisme ?
Lorsque la question est posée aux autorités compétentes, tous se renvoient la balle. Il serait peut-être temps que tout ce beau monde se mettre d’accord sur les critères et leurs applications. Ainsi on pourrait commencer à combler les postes vacants dans le but d’améliorer le système de santé. Il en a bien besoin.
(P.V.567)
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