Cette constatation fait suite à une nouvelle parue dans « Le Parisien » du13 octobre 2015 et qui titrait:
Vol MH 370 : un mystérieux témoin évoque de nouveaux débris d'avion
Une épave d'avion aux couleurs de la Malaisie contenant plusieurs squelettes retrouvée aux Philippines. Aussitôt on pense au Boeing 777 du vol MH 370 disparu le 8 mars 2014, entre Kuala Lumpur (Malaisie) et Pékin (Chine) avec 239 personnes à son bord.
Peu après, Les Philippines démentent que le MH370 ait été retrouvé sur une île reculée.
ZAMBOANGA - Les autorités philippines ont souligné mardi que le vol MH370 de Malaysia Airlines ne s’était pas écrasé sur une île reculée de l’archipel, alors qu’un homme a raconté qu’une carcasse d’avion y avait été retrouvée, affirmation reprise ici et là dans la presse.
Le sort du Boeing 777 qui a disparu en mars 2014 avec 239 personnes à bord entre Kuala Lumpur et Pékin reste inconnu à ce jour.
INCONNU, est le mot qu’il faut retenir et c’est tout ce qu’on peut dire jusqu’à maintenant.
On se souviendra de la découverte d’un débris d’avion, le 29 juillet 2015, sur le rivage oriental de l’île de La Réunion et qui avait ravivé toute l'histoire.
Juste après la découverte de ce débris d’avion, début août, les autorités malaisiennes s’étaient empressées de dire que cette pièce provenait du vol MH370. Le parquet de Paris s'était montré plus prudent, évoquant, dans un premier temps, de «très fortes présomptions». Mais des expertises effectuées, dans les jours qui suivirent, au laboratoire de la direction générale de l'armement du ministère de la Défense (DGA TA), près de Toulouse, ont permis de relever «trois numéros à l'intérieur du flaperon», qui ont conduit à une société sous-traitante de Boeing, l'entreprise Airbus Defense and Space (ADS-SAU) à Séville (sud de l'Espagne), précise le parquet dans son communiqué. Des données techniques et «l'audition d'un technicien de l'entreprise» permettent «d'associer formellement l'un des trois numéros relevés à l'intérieur du flaperon au numéro de série du flaperon du MH370».
Cette découverte levait en partie le voile sur la mystérieuse disparition du Boeing 777 de la Malaysia Airlines.
La région a connue des crashs aériens, mais aucun impliquant un Boeing 777. Quatre accidents graves de ce type d’appareil ont été recensés en vingt ans et a priori un seul, celui du MH370, s’est produit au sud de l’équateur.
Le Premier ministre malaisien, Najib Razak disait
« Nous avons des preuves physiques que le MH370 a fini son vol dans le sud de l'Océan Indien ». Et d’ajouter « c'est le cœur lourd que je dois vous annoncer qu'une équipe internationale d'experts a conclu que le débris trouvé sur l'île de La Réunion provient effectivement (du Boeing) du vol MH370»
Il y a bien évidement la distance de +/- 4000 km qui sépare l’endroit présumé du crash de la découverte du flaperon sur cette plage de l’Ile de la Réunion qui soulève des interrogations. Mais pour les expliquer, certains assurent que les courants marins équatoriaux Sud-Est, sont très puissants dans cette zone. La distance parcourue expliquerait d’une part les 16 mois de dérive. Et cette longue période de dérive (515 jours), entre deux eaux, expliquerait d'autre part, la présence d’anatifes, des crustacés cirripèdes qui se fixent sur les objets flottants.
Juste après la découverte de ce débris d’avion, début août, les autorités malaisiennes s’étaient empressées de dire que cette pièce provenait du vol MH370. Le parquet de Paris s'était montré plus prudent, évoquant, dans un premier temps, de «très fortes présomptions». Mais des expertises effectuées, dans les jours qui suivirent, au laboratoire de la direction générale de l'armement du ministère de la Défense (DGA TA), près de Toulouse, ont permis de relever «trois numéros à l'intérieur du flaperon», qui ont conduit à une société sous-traitante de Boeing, l'entreprise Airbus Defense and Space (ADS-SAU) à Séville (sud de l'Espagne), précise le parquet dans son communiqué. Des données techniques et «l'audition d'un technicien de l'entreprise» permettent «d'associer formellement l'un des trois numéros relevés à l'intérieur du flaperon au numéro de série du flaperon du MH370».
Cette découverte levait en partie le voile sur la mystérieuse disparition du Boeing 777 de la Malaysia Airlines. La région a connue des crashs aériens, mais aucun impliquant un Boeing 777. Quatre accidents graves de ce type d’appareil ont été recensés en vingt ans et a priori un seul, celui du MH370, s’est produit au sud de l’équateur.
Il y a bien évidement la distance de +/- 4000 km qui sépare l’endroit présumé du crash de la découverte du flaperon sur cette plage de l’Ile de la Réunion qui soulève des interrogations. Mais pour les expliquer, certains assurent que les courants marins équatoriaux Sud-Est, sont très puissants dans cette zone. La distance parcourue expliquerait d’une part les 16 mois de dérive. Et cette longue période de dérive (515 jours), entre deux eaux, expliquerait d'autre part, la présence d’anatifes, des crustacés cirripèdes qui se fixent sur les objets flottants.
Pour comprendre les tenants de cette théorie, il faut d’abord expliquer l’origine de l’incident qui selon eux a conduit l’avion dans le Sud de l’Océan Indien. Le Vol MH 370 aurait subi une dépressurisation, due à l’explosion des batteries Lithium en fret. La dépressurisation aurait entrainé la mort de l’équipage et des passagers. Toutefois comme l’avion était en vol, en pilote automatique jusqu’à l’extinction des réacteurs faute de carburant, cela devait logiquement aboutir à une mise en descente ordonnée par le pilote automatique, qui s’efforçait de ne pas laisser tomber la vitesse jusqu’au décrochage.
Cette thèse malheureusement n’explique pas un fait connu important. 90 secondes après le dernier message transmit du vol MH370, à 1h19, l’avion à été détourné de son plan de vol, juste au moment du transfert à la tour de contrôle d'Hô-Chi-Minh (Premier fait troublant à moins que ce soit une simple coïncidence ?), pour continuer vers l’Ouest, mais en plus il a poursuivi sa course à la verticale des frontières pour finalement piquer vers le Sud. (Deuxième fait troublant) Mais pour expliquer cela ils nous disent d’accorder peu de crédit à des trajectoires radar militaires qui ne sont que des enregistrements fragmentaires des pistes, sans certitude qu’il s’agissait du MH 370. Il n’y avait personne devant les scopes !
Personne devant les scopes de radar militaires. Voilà une autre explication qui me semble tirée par les cheveux car enfin, il y va de la sécurité du pays.
Cela-dit, je suis d’accord avec le fait que l’avion a fini sa course dans le Sud de l’Océan indien. Les données satellite d’Inmarsat-3 (International maritime satellite organization), situé dans l’espace au-dessus de l’océan Indien l’ont confirmé. Toutefois je doute que l’avion y soit parvenu seulement avec l’aide du pilote automatique, compte tenu des changements de cap. D’autre part, la possibilité qu’une seule pièce ait été retrouvée, qui plus est, après un aussi long voyage me laisse assez sceptique. Ajouté à cela tous les cafouillages, les dits et les démentis, ainsi que toutes ces questions laissées sans réponses. Bref j’en suis venu à me demander si cette pièce d’avion, ce flaperon du Boeing 777 du Vol MH 370 de la Malaysia Airlines (il n’y a aucun doute là-dessus), n’aurait pas été transporté là afin d’apaiser les esprits et d’en finir avec cette tragédie. Une personne de renom à qui j'exposais le résultat de mes recherches, n’a pas manqué de me dire en réponse « Je vous laisse à votre hypothèse du complot d’un flaperon qui aurait été transporté ». Il est évident que je bouscule le Politico li correct mais suis-je si complètement à côté de la vérité? Cette thèse malheureusement n’explique pas un fait connu important. 90 secondes après le dernier message transmit du vol MH370, à 1h19, l’avion à été détourné de son plan de vol, juste au moment du transfert à la tour de contrôle d'Hô-Chi-Minh (Premier fait troublant à moins que ce soit une simple coïncidence ?), pour continuer vers l’Ouest, mais en plus il a poursuivi sa course à la verticale des frontières pour finalement piquer vers le Sud. (Deuxième fait troublant) Mais pour expliquer cela ils nous disent d’accorder peu de crédit à des trajectoires radar militaires qui ne sont que des enregistrements fragmentaires des pistes, sans certitude qu’il s’agissait du MH 370. Il n’y avait personne devant les scopes !
Personne devant les scopes de radar militaires. Voilà une autre explication qui me semble tirée par les cheveux car enfin, il y va de la sécurité du pays.
Mes prétentions font suite à la théorie que j’évoquais dans mon précédent article du 9 février 2015 Opinion-Infochao: Tout sur la mystérieuse disparition du Vol MH370 de la Malaysia Airlines au paragraphe : Pirates de l’air?
Je ne suis pas seul à croire au détournement. Ghyslain Wattrelos, un père de famille, qui a perdu sa femme et deux de ses enfants dans la disparition du vol de Malaysia Airlines, est convaincu que l'avion a été détourné.
Voici ce qu'il nous dit « Après chaque crash, on retrouve toujours des centaines de débris et assez rapidement. Là, un seul morceau a été retrouvé au bout de seize mois. Ça veut dire qu'on n'est pas allé les chercher là où ils étaient ou alors ils ont vite été ramassés. Depuis tout ce temps, on a pu effacer des traces. Il y a forcément quelque chose de gros en tout cas. Tout le monde ment. L'avion a été détourné, c'est évident ! Les transpondeurs ont été coupés, l'avion a pris une trajectoire intelligente de manière à voler à proximité des frontières et à éviter les radars. Il y avait donc bien quelqu'un aux commandes. »
Pour les proches des passagers.
Cette découverte du flaperon avait ravivée une douleur extrême. Avant cette découverte sans preuve du crash, il était permit d’espérer que l’avion se soit posé quelque part. Après ce n’était plus possible. L’espoir faisait place au désespoir. Pour certains cette découverte permettait de commencer leur deuil. Mais pour les autres, ceux qui refusent toujours d’abandonner, ceux dont le but dans la vie est maintenant de découvrir la vérité. Pour ceux-là, cette découverte du flaperon signifie aussi qu’on pourrait trouver d’autres parties d’avion et éventuellement apporter des éléments de réponse sur certaines questions.
Voici ce qu'il nous dit « Après chaque crash, on retrouve toujours des centaines de débris et assez rapidement. Là, un seul morceau a été retrouvé au bout de seize mois. Ça veut dire qu'on n'est pas allé les chercher là où ils étaient ou alors ils ont vite été ramassés. Depuis tout ce temps, on a pu effacer des traces. Il y a forcément quelque chose de gros en tout cas. Tout le monde ment. L'avion a été détourné, c'est évident ! Les transpondeurs ont été coupés, l'avion a pris une trajectoire intelligente de manière à voler à proximité des frontières et à éviter les radars. Il y avait donc bien quelqu'un aux commandes. »
Pour les proches des passagers.
J’ai pour ma part, l’intime conviction qu’un jour on en saura d’avantage, car comment peut-on, à une époque où la technologie atteint des sommets, perdre à jamais un avion de cette taille.
Voir la première partie pour savoir comment tout à commencé :
Tout sur la mystérieuse disparition du Vol MH370 de la Malaysia Airlines
Mise à jour du 3 mars 2016.
C’est toujours le plus grand mystère autour de la disparition du vol MH 370 de Malaysia Airlines.
C'est pourquoi il suffit d’un nouveau débris, retrouvé le 2 mars 2016, par un touriste américain, pour qu’aussitôt la nouvelle se répande comme une trainée de poudre dans tous les médias internationaux. Ce qui prouve que cette disparition suscite toujours autant d’intérêt, à quelques jours du deuxième anniversaire de sa disparition.
Et même si la découverte du flaperon retrouvé le 29 juillet 2015, sur le rivage oriental de l’île de La Réunion laisse peu d’espoir de retrouver des passagers vivants. (Avant on pouvait imaginer une histoire semblable au feuilleton télévisé : Lost - Perdus ) Le monde croit toujours en la possibilité de retrouver d’autres parties du Boeing 777 de Malaysia Airlines. Et de là faire un peu de lumière sur ce qui s’est réellement passé.
Disparition du vol MH370 : le Mozambique juge prématurée toute identification du débris découvert
Nouvelles du 23 janvier 2016
Un débris métallique en Thaïlande relance le mystère du vol MH370
La pièce métallique incurvée a une longueur d'environ trois mètres et est large de deux mètres. Elle a été repérée par des pêcheurs dans la province de Nakhon Si Thammarat, dans la pointe sud du pays, sur le golfe de Thaïlande, a déclaré le chef de l'administration du district de Pak Phanang, Tanyapat Patthikongpan.
Rien ne confirme pour l'heure que cette pièce, qui a séjourné longtemps sous l'eau à en croire les coquillages à sa surface, a appartenu au Boeing 777 de la Malaysia Airlines.
(p.v.1478)
Voir la première partie pour savoir comment tout à commencé :
Tout sur la mystérieuse disparition du Vol MH370 de la Malaysia Airlines
Mise à jour du 3 mars 2016.
C’est toujours le plus grand mystère autour de la disparition du vol MH 370 de Malaysia Airlines.
C'est pourquoi il suffit d’un nouveau débris, retrouvé le 2 mars 2016, par un touriste américain, pour qu’aussitôt la nouvelle se répande comme une trainée de poudre dans tous les médias internationaux. Ce qui prouve que cette disparition suscite toujours autant d’intérêt, à quelques jours du deuxième anniversaire de sa disparition.
Et même si la découverte du flaperon retrouvé le 29 juillet 2015, sur le rivage oriental de l’île de La Réunion laisse peu d’espoir de retrouver des passagers vivants. (Avant on pouvait imaginer une histoire semblable au feuilleton télévisé : Lost - Perdus ) Le monde croit toujours en la possibilité de retrouver d’autres parties du Boeing 777 de Malaysia Airlines. Et de là faire un peu de lumière sur ce qui s’est réellement passé.
Disparition du vol MH370 : le Mozambique juge prématurée toute identification du débris découvert
« L’autorité d’aviation civile mozambicaine a confirmé, mercredi 2 mars, qu’un débris d’avion avait bien été trouvé près de ses côtes par un touriste américain, mais estime qu’il est encore prématuré d’attribuer la pièce au vol MH370 de la Malaysia Airlines reliant Kuala Lumpur à Pékin, disparu il y a bientôt deux ans. »
Le Mozambique présente le débris d'avion qui pourrait appartenir au vol MH370
«Il est très difficile pour n'importe quel enquêteur de confirmer à quel type d'avion cette pièce appartient», a déclaré Joao de Abreu, le président de l'Institut d'aviation civile du Mozambique (IACM), en présentant le débris lors d'une conférence de presse à Maputo. »
Nouvelles du 23 janvier 2016
Un débris métallique en Thaïlande relance le mystère du vol MH370
Cette trouvaille relance les spéculations sur le mystère du vol MH370 de la Malaysia Airlines, disparu des écrans radars le 8 mars 2014.
La pièce métallique incurvée a une longueur d'environ trois mètres et est large de deux mètres. Elle a été repérée par des pêcheurs dans la province de Nakhon Si Thammarat, dans la pointe sud du pays, sur le golfe de Thaïlande, a déclaré le chef de l'administration du district de Pak Phanang, Tanyapat Patthikongpan.
Rien ne confirme pour l'heure que cette pièce, qui a séjourné longtemps sous l'eau à en croire les coquillages à sa surface, a appartenu au Boeing 777 de la Malaysia Airlines.
(p.v.1478)
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