La guerre en Ukraine, le réchauffement climatique, les chaleurs extrêmes suivies des feux de forêt, la fonte des glaciers élevant le niveau de la mer de plus d'un mètre, davantage de tempêtes et des ouragans plus puissants, tueries de masse et finalement le déplacement des populations. Et c’est sans parler de ce à quoi pourrait conduire l’Intelligence artificielle : un homme choisit de mettre fin à ses jours après y avoir été encouragé par un chatbot (msn.com).
Pour info, les sept plaies d’Égypte sont
un événement biblique mentionné dans l’Ancien Testament de la Bible. Selon le
livre de l’Exode, l’Éternel a envoyé sur l’Égypte sept plaies pour convaincre
le pharaon de relâcher les Hébreux. Les sept plaies étaient des catastrophes
telles que des morts, des maladies et des calamités qui ont frappé tout le
pays. Les sept plaies sont un symbole de la puissance de Dieu et de son
infaillibilité.
Bref… allons-nous attendre, tout comme le
pharaon, que tout s’aggrave avant de réagir?
Mais avant d’en parler, finissons-en avec
la pandémie de covid-19, avant d’élaborer sur ce que l’avenir nous réserve. Car
oui on peut dire que la pandémie est derrière nous. Non pas parce qu’on a
totalement maitrisé la propagation du SARS-CoV-2, responsable de la maladie de
covid-19, mais parce qu’on a appris à vivre avec. On l’a donc relégué au rang
des maladies qui font mourir le monde. L’influenza, les maladies cardiaques,
les maladies pulmonaires, le cancer, etc.
Et là je dirai qu’on a eu raison de lâcher
prise avec la covid-19, car lorsqu’on met les choses en perspective, même si la
covid-19 a fait mourir près de 7 millions de personnes à ce jour, on est encore
loin de la peste noire qui aurait fait 200 millions de morts entre 1347 et
1351.
Pourquoi 200 millions de morts pour la
peste noire et seulement +/- 7 millions pour la covid-19?
Mise à part le fait que certains virus
sont plus dangereux que d’autres, s’agissant de la covid-19, rappelons-nous que
tout a été mise en œuvre pour stopper sa progression, à commencer par une
collaboration scientifique sans précédent à l’échelle mondiale. Mais à trop
vouloir nous protéger de la covid-19, les gouvernements ont peut-être fait plus
de mal que la maladie elle-même. Le confinement, les couvre-feux, les
restrictions sanitaires, les fermetures de magasin et l’encouragement à la
délation a semé la zizanie, et a fini par nous rendre dingues, plus ou moins.
Les populations ne sont pas habituées à vivre dans un tel climat de
contrainte.
Beaucoup de gens ont soufferts, certains
ont même tout perdu et quand les barrières sont tombées, les plus débrouillards
en ont profité pour se refaire. Leur cupidité a provoqué cette inflation qu’on
connait. Une inflation qui chaque jour jette davantage de gens sur le pavé et
vient grossir le pourcentage des pauvres. Et c’est ainsi que nait la violence.
En désespoir de cause, la violence devient la dernière chose, qui reste à
certains, pour se faire entendre en réponse à l’indifférence générale. Mais ça, aucune instance gouvernementale ou
autres ne l’admettront jamais, comme une cause possible à la suite d’un
évènement dramatique.
Le pire, c’est que nos dirigeants ne sont
pas à l’abri de cette folie.
Chacun peut voir à quel point la tension
monte sur la scène mondiale.
La Russie qui envahit l’Ukraine. La Chine qui revendique Taïwan et multiplie
les manœuvres militaires autour de l’ile. L’Iran qui déploiera une nouvelle technologie
pour repérer les femmes non voilées. La réforme des retraites en France. La
visite de Xi Jinping à Moscou. La tension entre la Chine et les États-Unis, la
Corée du Nord, etc. Nul ne peut prévoir
comment tout cela va finir. Et quand on pense que la Russie va déployer des
armes nucléaires tactiques au Bélarus, force est d’admettre que la menace d’un
conflit global n’a jamais été aussi grande que depuis la guerre froide.
Maintenant vous savez ce qu’on a gagné avec la covid-19 et les « épées
de Damoclès » suspendues au-dessus de nos têtes.
Maintenant écoutez la vidéo qui suit pour vous rendre compte de ce qu’on a perdu: le plaisir d’être ensemble
et participer à quelque chose pour le bien de tout un chacun.
Note en terminant : « Le » Covid ou « la » Covid? L'Académie française tranche pour le féminin